Bloguer, oui mais...
J'ai plusieurs articles commencés et enregistrés en mode brouillon... Ils sont dans le sas (d'entrée ou de sortie, c'est comme on veut) comme dirait un certain diariste
Vais-je vraiment raconter ma vie ? C'est ce que je me demande au moment de terminer, peaufiner, et publier, avec l'impression de ressasser. Qui est-ce que mon histoire va intéresser? Et puis, je trouve qu'il y a quelque chose de malsain à raconter ainsi à tout vent ce qu'on a fait, qui on a vu, ce qu'on a dit, etc. Peut-être ne suis-je pas faite pour le blog intime. Et puis, ces articles sont vite trop longs. Au moment d'écrire (partout, que ce soit dans les ateliers, les marathons, je me dis que lorsque c'est trop long, tout le monde va décrocher). Et je reconnais que moi aussi je décroche, quand c'est long. Pourtant, j'ai plein de choses à dire... Pardon, à écrire.
Sans doute, pour le moment, suis-je en mode pois chiche... Et réussites en Ancienne Egypte... Mal au dos, mal de tête, mal à l'estomac, problèmes de dents, contrôle annuel chez la sénologue demain.
Il faut dire que ce blog va à rien, à vau l'eau, au néant, soit j'arrête, soit je recommence tout, autrement, ailleurs...
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Ou alors, je me demande si la sagesse ne serait pas d'abandonner, tout simplement...
Et d'aller dehors où il fait beau.