Brèves...
Vendredi soir, V*** et moi avons concocté notre petit week-end télé. Vendredi, nous nous sommes mis d'accord sur les deux téléfilms sur Sissi (nouvelle version). Nous venions justement de voir la trilogie d'Ernst Marischka avec Romy Schneider (et l'imbuvable Maria Schneider) et nous nous disions que nous pourrions comparer les deux produits. A la fin, on planchait sur la généalogie d'un tas de familles royales européennes. Habsbourg, Bourbon-Parme, Bourbon-Sicile, Habsbourg d'Este (?), Hohenzollern, etc. etc. Nous sommes presque remontés à Marie de Bourgogne et Maximilien de Habsbourg.
Vers la fin, il m'a dit: qu'est-ce que c'est comme oiseau, l'Autruche-Hongrie ?!?
Je pleurais de rire dans mon canapé.
Samedi, ce serait Place Royale (question que je puisse passer mes nerfs sur notre idiote de famille royale , sur Martine, pardon, Mathilde en Egypte, et sur l'abominable galurin d'Astrid, laquelle n'a sûrement jamais commandé le moindre navire de guerre et que je puisse faire des commentaires aigres sur la remise des Prix Nobel, avec le Gotha et les VIP du Banquet), etc. etc. Et enfin, Julie Lescaut. Ah! Julie Lescaut! Les amours de Sarah Lescaut et d'un membre de la brigade... Julie Lescaut: la femme parfaite (comme l'Adjudant-chef Florent d'ailleurs, et Diane femme-flic) qui résout toutes les affaires, gère son commissariat de main de maître, et réussit tout dans sa vie. Y compris d'assumer son célibat sans criser à tout bout de champ (comment elle fait quand elle perd la clef de sa cave ???) Et en plus, elles sont vachement sexy...
Et dimanche, je n'ose pas dire ce que j'ai regardé dimanche... Disons que j'ai terminé la soirée devant un vieil épisode des Cordier juge et flic, c'est fou ce que j'aurai appris sur le tard à aimer les séries policières françaises, alors qu'on ne diffuse plus que les Experts, New-York Miami, FBI porté disparu, Desesperate - ou Desperate?- machin-chose, etc. etc.