7 juin 2010
Le blues de l'électrice lambda... (1)
Tenant compte que la crise politique belge m'a fait ... (je pense un très vilain mot)
Mais qu'on ne pouvait rien faire d'autre que "pousser sur le bouton de la sonnette d'alarme"
(Je crois qu'on l'agitera encore souvent pendant les 3 années à venir...
(On n'ira sans doute pas jusque 4).
Comme dans les années 80. Cfr. Martens I, II, III, IV, V, VI, VII et consorts.
Trois solutions s'offrent à moi:
- Brosser les élections ;
- Risquer une amende ;
- Ôter une voix aux représentants francophones, quels qu'ils soient.
- Aller voter ;
- Voter contre tout ce bastringue de schizophrènes qui ont fichu le pays, régions, villes, campagnes, communautés, tout en l'air;
- Laisser se perdre ma voix dans le gouffre sans fond d'une révolution à jamais mort-née et assister impuissante à la disparition définitive d'un monde dans lequel j'ai vécu heureuse jusqu'au 25 juin 1981 (avec quelques beaux moments après) et d'ailleurs, à la disparition de celui dans lequel je me suis débattue comme une lionne et qui, finalement, l'a emporté et qui, et que et quoi, bref, aucune importance.
- Ou aller voter
- Et voter consensuellement, en pensant à la Sécu, aux Pensions, en choisissant un parti de toute façon consensuel, mais qui ne scie pas la branche sur laquelle je suis assise, ou qui la scie seulement d'un millimètre par 3 ans, entre deux opérations du rachis, ou du moins, qui colle une échelle à mon arbre pour que, le cas échéant, je puisse en descendre avant de tomber avec d'autres chômeurs-invalides, veufs et orphelins, et de nous casser la figure en beauté.
- Amen !
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