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22 mars 2012

366 réel(s) à prise rapide/24

Aujourd'hui, le bien - le mal.

Toulouse, Montauban: des morts. Des enfants. Si tu fais du mal à un être humain, tu fais du mal à tous les êtres humains. Si tu fais du bien à un être humain, si tu sauves une personne, tu fais du bien à l'humanité, tu sauves l'humanité... Enfin, dit-on...

Avoir vécu 23 ans pour faire un tel carnage, tuer des hommes, des femmes, des enfants, (des femmes, je ne sais pas en réalité, mais des petites filles en tout cas).

Tout  ça pour ça: quelle tristesse ...

lombredundoute_04

Photo extraite du film "L'ombre d'un doute", d'Alfred Hitchcock.

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Commentaires
P
Oh, en fait, il s'agissait d'une phrase (si tu sauves un homme tu sauves tous les hommes), elle est un "commandement" presque pourrais-je dire dans la religion juive et peut-être dans le Coran aussi. (Là, je devrais vérifier). Je pense qu'on l'a appliquée aux Justes des Nations, à tous ceux qui ont sauvé des personnes pendant la guerre. De la déportation veux-je dire.<br /> <br /> <br /> <br /> Sur le plan privé, bien sûr, on doit se mettre des limites. Nous ne sommes pas des sauveurs ! Il y a aussi des problèmes dont l'autre nous abreuve et où l'on ne sait pas l'aider, sauf, peut-être, s'il s'aide déjà lui-même un minimum. Je crois qu'on peut apporter son soutien à quelqu'un qui est dans les difficultés passagères (même si ça dure), ET qu'il est dans une dynamique thérapeutique... et qu'il essaie (lol) de ne pas trop être pompant... Ce qui est plus facile à dire qu'à faire. J'ai moi-même été pompante, à certaines époques, mais je le savais, et je me soignais vraiment. Mais soit ... <br /> <br /> <br /> <br /> C'est évident qu'on doit se mettre des limites. Pouvoir dire non... J'ai eu une amie qui me téléphonait la nuit, restait des heures au téléphone à se plaindre de sa mère, mais elle avait elle-même un solide problème, déjà de santé, puisqu'elle était (la pauvre) morphinomane. A la fin, elle allait vider du champagne dans son frigo. Que pouvais-je faire? Rien... J'ai fini par laisser tomber, le jour où elle m'a balancé des insultes de manière détournée...
A
Je fais quelque chose pour aider quelqu'un. Cela semble bien. Mais si cela empêche que cette personne se prenne en charge elle-même, est-ce donc bien?<br /> <br /> Je refuse de faire quelque chose pour quelqu'un. Quelque chose qui semble simple et banal. Comme l'appeler au téléphone. Cela peut paraître mal. Mais si cela signifie que j'ai besoin de mettre mes limites pour m'y retrouver dans ma vie et être moi-même, est-ce donc mal? <br /> <br /> De plus dans notre société, par ignorance ou mauvaise information, nous ne sommes pas toujours sûrs du résultat réel de nos actes. Ce qui était considéré comme bon hier ne l'est plus aujourd'hui et vice versa.<br /> <br /> Alors, j'essaie de m'informer, en tentant de démêler les "bonnes" sources des mauvaises. Et surtout j'essaie d'agir selon ma conscience!
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  • Mes humeurs et humours, mes journées, Bruxelles et le Brabant wallon, mes coups d'espoir, mes hauts cris et les lendemains meilleurs d'une auteure pas tout à fait morte et d'une peintre apprentie... Dont l'apprentissage dure longtemps !
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