L'ennui...
C'est quand on sort de la maison (humide) de 1914 pour fuir Led Zeppelin, Clapton, Jimmy Page, Cyd Barrett, U2, le Boss, les Rolling Stones, et autres batteurs, guitaristes, bassistes ou "boys bands" (eh! Eh! Eh!) qui tournent à tue tête et qu'on veut téléphoner - assise sur une chaise (détrempée) dans le jardin, mais sans voir les toiles d'araignée (pourtant, avec l'humidité, on devrait !)
Il faut dire qu'en ce moment, à la campagne, avec le rafraîchissement de la température (16° le matin au jardin, c'est frisquet... 18,5° dans la maison, ce l'est aussi), les araignées cherchent à rentrer dans les maisons. J'en étais à ma troisième, ce matin (araignée du matin, grand chagrin), celle d'hier soir était noire et velue et courait sur une tenture (araignée du soir, bon espoir) et celle de vendredi midi (araignée du midi, bon appétit), m'a finalement méchamment piquée.
C'était ou une araignée ou un perce-oreilles (insecte rampant de la famille des scorpions), en tout cas, il ou elle se baladait dans mon gilet et quand je l'ai endossé, craaaac! J'ai été piquée dans le dos, à côté de ma cicatrice (12 cm...)
Il paraît que les araignées vivent en couple (un tel a marié une telle de la belle-famille de la tante de l'oncle qui vivait dans la ferme aux lapins et ils ont fait beaucoup de petites araignées et plus des lapins), (*** Vie et nature des insectes selon mon kinésithérapeute), et donc, qu'elles rentrent dans les maisons par les tuyauteries (ou tout simplement, les fenêtres entrouvertes?) Ca plus le perce-oreilles qui rampait sur mon matelas l'autre jour, du coup, j'ai voulu venir un peu respirer les pots d'échappement à Bruxelles, et puis manger un bout demain soir (j'ai diablement envie d'un Chi-Chi's et d'une sorte de cappuccino mexicain avec de la Tequila) et venir lire mes blogamis et me balader juste un peu dans la ville -
Je ne sais pas encore où j'irai, soit voir la tour gothique de Wim Delvoye (???) au Bozar, soit visiter le nouveau Pêle-Mêle à la Bascule - mon ancien quartier.
Mais quand je vois le pataquès autour de la gare du Midi, je me rends compte que j'avais gardé des images de Bruxelles en tête, mais sans le son, sans les encombrements, sans le gasoil infâme et l'heure de pointe...
E
Alors, voici, en accompagnement, "Thank you" de Led Zeppelin, également en hommage au roman de Sarah Dessen, "Ecoute-la".