J'adore les merceries, et tous les magasins qui permettent ces étalages d'un même objet décliné dans des couleurs et des formats différents. J'aime cette abondance, la répétition et les couleurs. Quand j'étais enfant il y avait une droguerie (on disait aussi marchand de couleur) près de chez moi, qui exposait des piles de cuvettes encastrées les unes dans les autres, des arrosoirs suspendus sous l'auvent dans la rue, et dans la boutique, les pots de peinture, les rayons de vis, tout faisait mon ravissement. Dans une mercerie je suis dans la même extase: les bobines de fils, les boutons, les pelotes, les rubans, je trouve toute cette abondance merveilleuse.
P
Pivoine
07/02/2010 18:59
@ Bonjour Adrienne o:))) Exact ! Le pull a traîné tout l'été !!! Le côté XIXème o:) ça a son charme, surtout quand il y a ce qu'il faut de modernité o:)))
A
Adrienne
07/02/2010 18:01
ce qu'il y a de bien avec ces laines à tricoter c'est qu'on sera à la mode de l'an dernier :-)<br />
et que nous les tricoteuses on s'en fiche complètement, non?<br />
(moi aussi j'ai mes côtés 19e siècle, je crois)
P
Pivoine
07/02/2010 16:46
Oh, Nuages, je suis vraiment morte de rire !!! Je me souvenais quand tu avais pastiché ce style abstrus (stielekezoen...)
N
nuages
06/02/2010 22:59
"3043 and more", 80 x 50 cm, courtesy Galerie Agathe Schrutzky, Paris.<br />
Dans cette pièce, Pivoinequartz (19.., vit et travaille à Bruxelles) interroge le médium textile dans sa polyvalence chromatique et déconstruit le signifiant vernaculaire de l'objet "laine" pour en traduire le message inconscient véhiculé par le "besoin" de réassurance thermique qu'induit la "froidure" hivernale, ou plus exactement non-estivale. <br />
28.000 € (TVA incluse).
Mes reflets
Mes humeurs et humours, mes journées, Bruxelles et le Brabant wallon, mes coups d'espoir, mes hauts cris et les lendemains meilleurs d'une auteure pas tout à fait morte et d'une peintre apprentie... Dont l'apprentissage dure longtemps !